La société biopharmaceutique BioAge Labs a décidé de suspendre son essai clinique de Phase 2 STRIDES, qui explorait le médicament expérimental appelé azelaprag pour le traitement de l’obésité. Cette décision est survenue après que certains participants aient présenté des niveaux élevés d’enzymes hépatiques, connus sous le nom de transaminitis hépatique. Bien que ces élévations n’aient pas été associées à des symptômes cliniques significatifs, elles ont soulevé des préoccupations concernant la sécurité hépatique.
L’essai, impliquant 204 sujets et étudiant les effets de l’azelaprag seul et en combinaison avec tirzepatide (commercialisé sous le nom de Zepbound), a montré des élévations de transaminases chez ceux traités avec l’azelaprag, poussant BioAge à cesser les dosages et l’inscription supplémentaires. Les enquêteurs et les autorités réglementaires, y compris la FDA, ont été informés, et une analyse continue est prévue pour orienter les étapes futures concernant l’azelaprag.
Bien que l’arrêt représente un revers, des aspects prometteurs de l’azelaprag dans des études précliniques et dans l’efficacité de Ph1b demeurent. Entre-temps, BioAge progresse avec son programme de neuroinflammation NLRP3 pour aborder les maladies liées à l’âge.
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Togglebioage suspend l’essai clinique sur l’obésité
L’industrie biopharmaceutique a été témoin d’une décision notable alors que BioAge Labs a choisi de suspendre son essai clinique de Phase 2 ciblant le traitement de l’obésité. Ce mouvement est survenu après des risques de sécurité émergents liés à son médicament expérimental, l’azelaprag. Des préoccupations sont apparues en raison des niveaux élevés d’enzymes hépatiques observés chez les participants à l’essai, soulevant des drapeaux rouges concernant d’éventuels problèmes hépatiques. Cet essai, qui a vu la participation de 204 individus, visait à évaluer l’azelaprag, à la fois comme traitement autonome et en combinaison avec le tirzepatide. La décision a entraîné une chute significative de la valeur boursière de BioAge, illustrant l’impact des décisions cliniques sur les dynamiques du marché.
Ce développement énumère l’équilibre délicat que les chercheurs doivent maintenir entre innovation et sécurité. Bien que l’entreprise ait nourri de grands espoirs pour ce traitement, aligner les avantages avec les protocoles de sécurité demeure primordial. En tirant des enseignements de ce scénario, il est vital pour les entreprises biopharmaceutiques de naviguer dans le labyrinthe complexe des essais de médicaments, où chaque étape comporte des implications profondes.
facteurs menant à la suspension de l’essai
Plusieurs facteurs ont contribué à l’arrêt de cet essai sur l’obésité. La principale préoccupation tournait autour des niveaux d’enzymes hépatiques, connus sous le nom de transaminitis, qui peuvent indiquer des complications hépatiques sous-jacentes. Parmi les participants recevant l’azelaprag, 11 ont présenté ces niveaux élevés, entraînant un examen immédiat et la suspension éventuelle de l’essai. Bien que le médicament ait montré des promesses lors des phases antérieures, le profil de sécurité au dosage actuel est devenu incompatible avec les aspirations à un traitement oral de premier plan pour l’obésité.
diriger les futures directions pour bioage
Malgré la suspension de l’essai clinique, BioAge reste engagé envers ses objectifs globaux. L’entreprise explore avec ferveur son programme d’inhibiteur NLRP3 pour s’attaquer à la neuroinflammation. Ce programme novateur est essentiel, considérant le lien entre la neuroinflammation et les troubles métaboliques. De plus, les enseignements tirés de l’actuel revers servent d’apprentissages critiques, ouvrant la voie à des cadres de recherche plus robustes dans les thérapies liées aux maladies de l’âge. Gardant un œil sur les trajectoires de recherche à long terme, BioAge vise à être à l’avant-garde des thérapies révolutionnaires qui redéfinissent les paysages de santé.